Un blog sur l'expatriation en Thaïlande, des conseils pour monter son business et réussir son installation, mais également un blog de voyage avec des anecdotes.
samedi 30 juin 2012
mercredi 27 juin 2012
3 Le visa business pour la Thaïlande
S’il n’est
pas difficile d’obtenir un visa touristique, cela se complique pour tous ceux
qui souhaitent résider à long terme et travailler en Thaïlande.
Si vous
souhaitez travailler en Thaïlande, vous devez impérativement obtenir le visa
non-immigrant « business visa » (Catégorie B)
Ce n’est
qu’avec ce visa que vous pourrez obtenir un permis de travail.
lundi 25 juin 2012
3 Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la Thaïlande et les Thaïlandais sans jamais oser le demander
En savoir plus sur la société thaïlandaise et les sujets sensibles comme la prostitution ou la monarchie.
Découvrez pourquoi les Thaïlandais nomment les étrangers des Farangs et pourquoi la nourriture occupe une grande place dans la vie des Thaïlandais.
dimanche 24 juin 2012
4 Ouvrir un business en Thaïlande : la phase de recherche
samedi 23 juin 2012
jeudi 21 juin 2012
11 Regard d’une femme Farang… Quelle est la place d’une femme expatriée en Thaïlande ?
Comment se créer un réseau social en étant une étrangère en Thaïlande ?
Comment ne pas sombrer dans le blues de l'expatrié ?
mercredi 20 juin 2012
3 Se lancer dans un business en Thaïlande : les erreurs à éviter
Vous avez le projet de vous installer
en Thaïlande ? Voici quelques tuyaux pour éviter les pièges.
Règle numéro 1 : ECONOMISEZ
Tout d’abord, sachez qu’il est
illusoire de monter un business avec peu d’économies. Beaucoup pensent qu’avec
quelques euros en poche, ils pourront se faire une place au soleil.
Vous pourrez bien sûr trouver des
petits restaurants ou bars à reprendre pour 15 000 ou 20 000 euros,
mais alors sachez qu’il sera très difficile d’en vivre. La loi thaïlandaise
vous impose d’employer 4 Thaïs pour obtenir 1 permis de travail. Dans une
petite structure, aurez-vous besoin de 4 employés ? Et pourrez-vous
soutenir cette charge salariale ?
Règle numéro 2 : PRENEZ LE TEMPS
Prenez votre temps et effectuez
plusieurs séjours en Thaïlande avant de vous décider. Il existe un grand fossé
entre passer des vacances et y vivre. Beaucoup de touristes, dont c’est le
premier séjour en Thaïlande, nous disent qu’ils veulent s’y’installer.
Règle numéro 3 : REFLECHISSEZ A VOTRE PROJET
Réfléchissez, à quel type de business
vous souhaitez monter. Vous ne ferez sans doute pas le métier que vous exerciez
en France. Bien souvent, les étrangers qui possèdent un business ont repris un
restaurant, une guesthouse, un bar ou un salon de massage. Posez-vous la
question de savoir si vous vous projetez dans ce type de métiers.
Règle numéro 4 : OBSERVEZ ET NOUEZ DES CONTACTS
Une fois votre décision prise, choisissez
un endroit en Thaïlande où vous vous sentez le mieux et passez-y du temps.
Nouez des contacts et discutez avec des
étrangers qui sont installés et qui tiennent déjà des business. Pour les
trouver, regardez sur le guide du routard, le Lonely Planet ou Tripadvisor.
Généralement ces guides ou sites nomment les propriétaires et leurs
nationalités sur les adresses répertoriées.
Règle numéro 5 : NOUEZ UNE RELATION DE CONFIANCE AVEC DES THAÏS
C’est sans doute la règle la plus
importante, car sachez que vous serez obligés de vous associer avec un Thaï
pour ouvrir un business, du moins sur les papiers. Votre partenaire Thaï sera
sensé posséder 51 % des parts de votre société. Il est possible de limiter
les risques avec un très bon cabinet d’avocats qui vous sert de prête-nom pour
votre contrat de business.
Beaucoup choisissent de mettre le business
au nom de leur compagne thaïe. Là aussi, inutile de vous dire qu’il faut agir
avec vigilance, car en cas de rupture, vous n’aurez plus aucun droit sur votre
business.
Règle numéro 6 : SOYEZ VIGILANTS SUR LES TERMES DE VOTRE BAIL
Vous avez trouvé un business à
reprendre ? Soyez alors vigilant sur les termes du bail avec le
propriétaire. Bien souvent, vous achetez un fonds de commerce, donc un bail. Vous
n’êtes en aucun cas propriétaire des locaux. Vous devrez alors verser un loyer
tous les mois. Le propriétaire vous établira un bail de tant d’années renouvelable
ou non.
Négociez un bail longue durée et renouvelable.
Dans le cas contraire, le propriétaire pourra, s’il le souhaite, reprendre les
murs à chaque fin de bail. Vous n’aurez donc aucune possibilité de revendre
votre bail et perdrez tout sans aucun recours.
1 Se former au massage thaï à Chiang Mai
Chiang Mai reste l’une des villes de
Thaïlande les plus réputées pour apprendre le massage thaï.
Certaines écoles proposent des
formations plus ou moins longues. La plus courante, un stage de 5 jours, qui
vous donnera les bases du massage thaï. Il faut compter entre 5000 et 10 000
bahts pour 30 heures de cours.
Vous pouvez également suivre des
formations plus longues, généralement de 3 mois, mais vous ne pourrez ni
exercer ou enseigner dans votre pays d’origine. Vous n’obtiendrez pas un diplôme,
mais un certificat. En France, seules les personnes disposant d’un diplôme en
kinésithérapie ont le droit d’exercer en tant que masseur.
Pour un Thaï, il faut compter 2 ans d’études
pour obtenir une licence et se mettre à son compte.
Certaines écoles sont plus ou moins
sérieuses ou réputées. Parmi les meilleures écoles, certifiées par le Nuad Boran
Thai Europe, se trouvent :
- Le Wat Po, qui propose à Chiang Mai des stages d’introduction de 5 jours pour 10 000 bahts. Pour des formations plus longues, il faudra vous rendre à Bangkok.
- Lanna Thaï Massage School, qui propose des stages d’introduction allant de 1 à 10 jours. Compter entre 2 500 à 6 500 bahts.
- Sensip training, le plus de cette école, elle dispense des cours en français. Stage de 10 jours, mais également une formation longue de 372 heures.
- Thai Massage School, Old Medecin Hospital, plusieurs types de stages en fonction de votre niveau. Compter 5000 bahts par module de 5 jours.
À vous de choisir votre école
parmi les différents enseignements.
Bon apprentissage !
Nous allons bientôt tester un stage de
5 jours dans l’une de ces écoles et nous vous ferons, bien sûr, partager notre
expérience.
lundi 18 juin 2012
0 C'est parti pour 5 semaines de voyage en Nouvelle-Zélande
Mardi 13 mars 2012 : Chiang Mai - Christchurch
Arrivée à Christchurch dans l’après-midi après un très long voyage ! 10 heures d’attente à Kuala Lumpur et autant de vol !
Nous prenons possession de notre voiture chez Omega rental cars. Accueil et service impeccable, il suffit de les appeler en arrivant à l’aéroport.
Gui découvre la conduite à gauche et la tâche ne nous est pas facilitée, car la ville est en travaux à cause du tremblement de terre de l’an passé.
Des quartiers entiers sont fermés à la circulation et de nombreuses rues sont en sens unique.
Mais nous trouvons malgré cela notre auberge de jeunesse, « Around the world ». Nous avons la surprise de dormir dans une cabane attenante à l’auberge de jeunesse, aux hôtes très jeunes. Le concept est toutefois sympa, car une cuisine est à disposition ainsi qu’un barbecue et un grand jardin.
Nous partons donc en quête de nourriture et sommes surpris par la tranquillité des rues. C’est calme, aéré et verdoyant.
La vie est chère en Nouvelle-Zélande et nous ne pourrons pas aller au restaurant tous les jours. Qu’à cela ne tienne, on n’est jamais aussi bien nourri que par soi-même.
Fatigués de notre périple, nous dînons de bonne heure et nous couchons tôt.
0 La faune exceptionnelle de Kaikoura
Mercredi 14 mars 2012 : Christchurch - Kaikoura
Vous rêvez d'observer des cachalots et des otaries ? C'est à Kaikoura qu'il faut se rendre.
Direction Kaikoura, 200 kilomètres de route à travers la campagne néo-zélandaise pour le moins généreuse et superbe.
Kaikoura est une petite station balnéaire paisible au charme fou, célèbre pour l’observation des cachalots.
C’est d’ailleurs l’objectif de notre halte. Nous partons réserver un tour classique en bateau pour le lendemain lorsque nous apercevons un « héliport ».
Nous sommes finalement tentés d’apercevoir ces majestueux mammifères depuis le ciel. Il en coûte tout de même 325 NZD par personne pour 30 minutes de vol. Plus de 95 % de garantie de voir les cachalots avec les sensations en prime.
Le temps est splendide et nous admirons la baie et ses alentours. Au bout de 15 minutes de vol, nous avons la chance d’apercevoir un premier cachalot qui vient s’oxygéner à la surface pendant 10 à 15 minutes avant de replonger pour se nourrir pendant 1 heure. Mais une autre surprise nous attend puisqu’un deuxième nous fait l’honneur de montrer son évent. Le spectacle est grandiose bien qu’ils paraissent petits vu du ciel.
De retour sur le plancher des « moutons », nous nous dirigeons vers la pointe de Kaikoura pour, cette fois-ci, observer des otaries. Là non plus, nous ne serons pas déçus, car nous avons la chance d’en apercevoir une colonie lézardant au soleil sur les rochers.
Il faut avoir l’œil, car, malgré leurs 300 kilos, elles se fondent sur la roche. Elles ne semblent nullement gênées par notre présence mais nous gardons un espace de sécurité. On n'est pas à Komodo, mais ne sait-on jamais.
Après cette promenade enchantée, nous nous restaurons au Kaikoura seafood BBQ avec Saint-Jacques et langoustes, un régal très abordable.
Nous rentrons, ravis de notre journée, à « L’albatros backpaker Inn » (http://www.albatross-kaikoura.co.nz/), une petite auberge agréable, propre et confortable.
0 Les cachalots de Kaikoura
Jeudi 15 mars 2012 : Kaikoura - Christchurch
Encore une fois, nous sommes éblouis par cette faune si particulière. Kaikoura vaut vraiment le détour !
Ce matin, nous nous levons aux aurores pour admirer à nouveau les cachalots de Kaikoura, cette fois-ci depuis un bateau. L’agence « Whale Watch » propose un tour bien rôdé de 3 heures pour 145 NZD/ personne.
Les conditions sont très favorables et après seulement 10 minutes de navigation nous apercevons le majestueux mammifère. Du moins, nous apercevons son évent et sa queue lorsqu’il s’apprête à plonger.
Nous avons la chance d’en voir 6 mais également des dauphins Hector qui viennent sauter près du bateau. Un spectacle bien merveilleux.
Nous décidons de repartir vers Christchurch et le temps se couvre un peu en route. Nous retrouvons Christchurch sous la grisaille.
Nous trouvons une pension bien agréable à la déco colorée et originale, « Le Chester backpaker », où encore une fois nous avons le droit à un bungalow à l’écart, tout confort et décoré avec goût pour 66 NZD la nuit. Une très bonne adresse où l’on se sent comme à la maison.
Nous partons à la découverte de Christchurch et de sa cathédrale, mais nous réalisons que le séisme d’il y a un an a dévasté le centre-ville, en pleine reconstruction. Il est d’ailleurs interdit d’accès. Tout n’est que désolation et l’on comprend mieux pourquoi les rues sont désertes.
Nous rentrons dans notre havre après quelques courses au supermarché, assez onéreuse pour peu de produits. Gui a même dû reposer ses 12 Heineken qui chiffraient 20 NZD. La bière attendra.
0 L'incroyable beauté du lac Tekapo
Vendredi 16 mars 2012 : lac Tekapo - Twizel
Nous partons ce matin pour Twizel au centre de l’île. Mais nous devons d’abord trouver un change, ce qui n’est pas une mince affaire à Christchurch étant donné l’état du centre-ville.
Nous partons ce matin pour Twizel au centre de l’île. Mais nous devons d’abord trouver un change, ce qui n’est pas une mince affaire à Christchurch étant donné l’état du centre-ville.
La première partie de la route jusqu’à Géraldine n’est pas très intéressante. Nous traversons la campagne néo-zélandaise dans la grisaille.
Après Géraldine, le paysage change du tout au tout et devient sublime. La route traverse de grands espaces de collines parées d’herbe jaune en cette saison.
Au détour d’un virage, s’offre à nous le superbe lac Tekapo d’un bleu turquoise éclatant. C’est par ailleurs, l’air le plus pur de l’île du Sud. Pour preuve, l’observatoire astronomique du mont John surplombant le lac, le détour s’impose.
La vue y est à couper le souffle avec une vision panoramique à 360 degrés. Un mélange de couleurss’offre à nos yeux émerveillés.
Nous reprenons la route pour déboucher sur le lac Pukaki où se reflète le mont Cook enneigé.
Nous faisons halte à Twizel, une bourgade paisible sur la route du mont Cook.
Nous logeons au « High country lodge backpacker » et ce soir, soyons fous, nous prenons le studio à 99 NZD la nuit : cuisine et salle de bain privative avec 4 couchages pour 2. Sans charme, mais bien pratique.
0 Le glacier du mont Cook et les manchots de Oamaru
Samedi 17 mars 2012 : Mont Cook - Oamaru
Nous partons à la découverte du mont Cook, le sommet le plus haut de Nouvelle-Zélande culminant à 3755 mètres.
Nous partons à la découverte du mont Cook, le sommet le plus haut de Nouvelle-Zélande culminant à 3755 mètres.
La route, de Twizel au mont Cook, est superbe. Nous longeons le lac Pukaki aux eaux turquoise et débouchons sur une grande vallée encadrée de montagnes avant d’apercevoir le majestueux mont Cook.
Nous choisissons de faire la balade du glacier Tasman où fut tournée l’une des scènes de Titanic. De même que des scènes du film « Vertical Limit » furent tournées dans le parc national du mont Cook.
Après une montée dans un décor lunaire, s’offre à nous le glacier qui perd 200 mètres tous les ans. Il y a même des petits icebergs qui émergent des eaux vert pâle.
Nous profitons de la beauté du site pour nous promener dans les alentours.
Nous reprenons la route en sens inverse, direction Oamaru, et traversons la Waitaki vallée, région de lacs immenses.
Oamaru est une petite ville au charme anglais désuet.
Nous logeons à l’Empire backpacker, bâtiment datant de 1867. Les parties communes sont spacieuses, mais les chambres minuscules.
La principale attraction de la ville : les manchots à œil jaune et les manchots bleus. Nous tentons d’observer les manchots à œil jaune au bout du sentier de Bushy beach. Nous n’en verrons qu’un seul, car ils ne reviennent dans leur nid qu’à la tombée de la nuit après avoir pêché toute la journée.
Nous fêtons la Saint-Patrick à la Tsing Tao, les autres bières étant très chères.
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