Un blog sur l'expatriation en Thaïlande, des conseils pour monter son business et réussir son installation, mais également un blog de voyage avec des anecdotes.
lundi 25 juin 2012
dimanche 24 juin 2012
4 Ouvrir un business en Thaïlande : la phase de recherche
samedi 23 juin 2012
jeudi 21 juin 2012
11 Regard d’une femme Farang… Quelle est la place d’une femme expatriée en Thaïlande ?
Comment se créer un réseau social en étant une étrangère en Thaïlande ?
Comment ne pas sombrer dans le blues de l'expatrié ?
mercredi 20 juin 2012
3 Se lancer dans un business en Thaïlande : les erreurs à éviter
Vous avez le projet de vous installer
en Thaïlande ? Voici quelques tuyaux pour éviter les pièges.
Règle numéro 1 : ECONOMISEZ
Tout d’abord, sachez qu’il est
illusoire de monter un business avec peu d’économies. Beaucoup pensent qu’avec
quelques euros en poche, ils pourront se faire une place au soleil.
Vous pourrez bien sûr trouver des
petits restaurants ou bars à reprendre pour 15 000 ou 20 000 euros,
mais alors sachez qu’il sera très difficile d’en vivre. La loi thaïlandaise
vous impose d’employer 4 Thaïs pour obtenir 1 permis de travail. Dans une
petite structure, aurez-vous besoin de 4 employés ? Et pourrez-vous
soutenir cette charge salariale ?
Règle numéro 2 : PRENEZ LE TEMPS
Prenez votre temps et effectuez
plusieurs séjours en Thaïlande avant de vous décider. Il existe un grand fossé
entre passer des vacances et y vivre. Beaucoup de touristes, dont c’est le
premier séjour en Thaïlande, nous disent qu’ils veulent s’y’installer.
Règle numéro 3 : REFLECHISSEZ A VOTRE PROJET
Réfléchissez, à quel type de business
vous souhaitez monter. Vous ne ferez sans doute pas le métier que vous exerciez
en France. Bien souvent, les étrangers qui possèdent un business ont repris un
restaurant, une guesthouse, un bar ou un salon de massage. Posez-vous la
question de savoir si vous vous projetez dans ce type de métiers.
Règle numéro 4 : OBSERVEZ ET NOUEZ DES CONTACTS
Une fois votre décision prise, choisissez
un endroit en Thaïlande où vous vous sentez le mieux et passez-y du temps.
Nouez des contacts et discutez avec des
étrangers qui sont installés et qui tiennent déjà des business. Pour les
trouver, regardez sur le guide du routard, le Lonely Planet ou Tripadvisor.
Généralement ces guides ou sites nomment les propriétaires et leurs
nationalités sur les adresses répertoriées.
Règle numéro 5 : NOUEZ UNE RELATION DE CONFIANCE AVEC DES THAÏS
C’est sans doute la règle la plus
importante, car sachez que vous serez obligés de vous associer avec un Thaï
pour ouvrir un business, du moins sur les papiers. Votre partenaire Thaï sera
sensé posséder 51 % des parts de votre société. Il est possible de limiter
les risques avec un très bon cabinet d’avocats qui vous sert de prête-nom pour
votre contrat de business.
Beaucoup choisissent de mettre le business
au nom de leur compagne thaïe. Là aussi, inutile de vous dire qu’il faut agir
avec vigilance, car en cas de rupture, vous n’aurez plus aucun droit sur votre
business.
Règle numéro 6 : SOYEZ VIGILANTS SUR LES TERMES DE VOTRE BAIL
Vous avez trouvé un business à
reprendre ? Soyez alors vigilant sur les termes du bail avec le
propriétaire. Bien souvent, vous achetez un fonds de commerce, donc un bail. Vous
n’êtes en aucun cas propriétaire des locaux. Vous devrez alors verser un loyer
tous les mois. Le propriétaire vous établira un bail de tant d’années renouvelable
ou non.
Négociez un bail longue durée et renouvelable.
Dans le cas contraire, le propriétaire pourra, s’il le souhaite, reprendre les
murs à chaque fin de bail. Vous n’aurez donc aucune possibilité de revendre
votre bail et perdrez tout sans aucun recours.
1 Se former au massage thaï à Chiang Mai
Chiang Mai reste l’une des villes de
Thaïlande les plus réputées pour apprendre le massage thaï.
Certaines écoles proposent des
formations plus ou moins longues. La plus courante, un stage de 5 jours, qui
vous donnera les bases du massage thaï. Il faut compter entre 5000 et 10 000
bahts pour 30 heures de cours.
Vous pouvez également suivre des
formations plus longues, généralement de 3 mois, mais vous ne pourrez ni
exercer ou enseigner dans votre pays d’origine. Vous n’obtiendrez pas un diplôme,
mais un certificat. En France, seules les personnes disposant d’un diplôme en
kinésithérapie ont le droit d’exercer en tant que masseur.
Pour un Thaï, il faut compter 2 ans d’études
pour obtenir une licence et se mettre à son compte.
Certaines écoles sont plus ou moins
sérieuses ou réputées. Parmi les meilleures écoles, certifiées par le Nuad Boran
Thai Europe, se trouvent :
- Le Wat Po, qui propose à Chiang Mai des stages d’introduction de 5 jours pour 10 000 bahts. Pour des formations plus longues, il faudra vous rendre à Bangkok.
- Lanna Thaï Massage School, qui propose des stages d’introduction allant de 1 à 10 jours. Compter entre 2 500 à 6 500 bahts.
- Sensip training, le plus de cette école, elle dispense des cours en français. Stage de 10 jours, mais également une formation longue de 372 heures.
- Thai Massage School, Old Medecin Hospital, plusieurs types de stages en fonction de votre niveau. Compter 5000 bahts par module de 5 jours.
À vous de choisir votre école
parmi les différents enseignements.
Bon apprentissage !
Nous allons bientôt tester un stage de
5 jours dans l’une de ces écoles et nous vous ferons, bien sûr, partager notre
expérience.
lundi 18 juin 2012
0 C'est parti pour 5 semaines de voyage en Nouvelle-Zélande
Mardi 13 mars 2012 : Chiang Mai - Christchurch
Arrivée à Christchurch dans l’après-midi après un très long voyage ! 10 heures d’attente à Kuala Lumpur et autant de vol !
Nous prenons possession de notre voiture chez Omega rental cars. Accueil et service impeccable, il suffit de les appeler en arrivant à l’aéroport.
Gui découvre la conduite à gauche et la tâche ne nous est pas facilitée, car la ville est en travaux à cause du tremblement de terre de l’an passé.
Des quartiers entiers sont fermés à la circulation et de nombreuses rues sont en sens unique.
Mais nous trouvons malgré cela notre auberge de jeunesse, « Around the world ». Nous avons la surprise de dormir dans une cabane attenante à l’auberge de jeunesse, aux hôtes très jeunes. Le concept est toutefois sympa, car une cuisine est à disposition ainsi qu’un barbecue et un grand jardin.
Nous partons donc en quête de nourriture et sommes surpris par la tranquillité des rues. C’est calme, aéré et verdoyant.
La vie est chère en Nouvelle-Zélande et nous ne pourrons pas aller au restaurant tous les jours. Qu’à cela ne tienne, on n’est jamais aussi bien nourri que par soi-même.
Fatigués de notre périple, nous dînons de bonne heure et nous couchons tôt.
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